Voyage 2025 : Sur la bords du Rhône à St Romain en Gal et à Vienne, le samedi 4 octobre 2025
Pour son voyage annuel, l'Association des
Amis de Montmélian et de ses Environs avait choisi de continuer à
explorer le monde romain antique en choisissant la découverte de
deux villes des bords du Rhône, au riche passé romain commun : St
Romain en Gal (rive droite) et Vienne (rive gauche). Nous
poursuivrons ainsi notre culture romaine, commencée en 2024 en
Suisse romande avec la découverte des mosaïques du site
d'Orbe-Boscéaz .
N'oublions pas que notre territoire (la
Sapaudia) était le passage depuis l'époque romaine par la Via
Augusta reliant Milan à Vienne, la première capitale de la Gaule
Romaine dont l'histoire s'est répétée avec le Royaume Burgonde qui
avait deux capitales Genève et Vienne.
Sous l'Antiquité, entre le Ier siècle avant J.-C. et le IVème après
J.-C., Vienna s'étendait de chaque côté du Rhône et de très loin à
l'intérieur des terres. Aujourd'hui le site archéologique s'étire
sur 3 communes et 2 départements : Vienne sur la Rive gauche
(département de l'Isère) St Romain en Gal et Ste Colombe sur l'autre
rive (département du Rhône). Chacune des rives avait alors une
fonction spécifique. Les vestiges ont révélé que les vies politique
et religieuse étaient plus tôt concentrée sur la rive gauche du
Rhône, tandis que les commerces et belles demeures se situaient sur
sa rive droite. Déjà à l'époque, la vie s'écoulait au rythme des
passages du fleuve, d'une rive à l'autre et de l'activité
commerciale venant du puissant fleuve.
Avec un départ précis à 07H30, le car de la SAT conduit par Franck nous emmènera, après un arrêt de courtoisie à Chambéry, des travaux routiers du côté de La Motte Servolex et un arrêt technique à l'Isle d'Abeau, à bon port sur les bords du Rhône. Nous traversons le bosselé Nord du Dauphiné (les fameuses Terres Froides) aux maisons en pisé (mur en terre bien grasse mélangée d'argile) : les résidus de la dernière glaciation (- 11 700 avant J.C.) pour atteindre notre destination. Une grosse partie de ces lieux a été longtemps savoyarde du XIe siècle jusqu'au traité de Paris du 5 janvier 1355 entre le Comte Vert Amédée VI, le Roi de France Jean II le Bon et le Dauphin Charles au début de la guerre de Cent Ans.
Rappel 1: en 1343, le Dauphin Humbert II, par
acte dit de "transport" cède le Dauphiné à la couronne de France,
représenté par Philippe, le second fils de Philippe VI de Valois
sous condition de respecter ses privilèges ce qui lui conférera une
relative autonomie. Ce statut particulier, dit "statut delphinal"
restera une pomme de discorde jusqu'à la Révolution de 1789 entre le
Parlement de Grenoble et les autorités royales. Le transport du
Dauphiné à la couronne de France sera effectif en 1349.
Rappel 2 : à l'époque antique, Vienna s'étendait sur les deux rives
du Rhône et ne faisait qu'une cité. La construction du Royaume de
France allait séparer la cité par le Rhône : la partie Ouest
relevait du Royaume de France et la partie Est, le Dauphiné
dépendait lui du St Empire Romain Germanique.
Le matin : visite guidée du Musée et sites gallo-romains de St Romain en Gal

Les Amis de Montmélian devant le musée
romain
Depuis très longtemps, on savait que la rive
droite du Rhône en face de Vienne, était occupée dans l'Antiquité.
Mais on imaginait seulement quelques grandes villas dispersées dans
la campagne. Il fallut attendre la fin du XVIIIe siècle pour que
Pierre Schneyder, fondateur du musée, réalise des fouilles dans le
secteur du site aujourd'hui classé. Il mit à jour plusieurs
pavements. Jusqu'au début du XXème siècle, les découvertes de
mosaïques le plus souvent fortuites seront nombreuses sur tout le
territoire.
Cependant, ce n'est qu'en 1967, en préalable à la construction d'un
lycée que les archéologues commencent une grande fouille au lieu-dit
la Plaine. Il découvrit les vestiges d'une véritable ville. Les
grands domus aux aménagements luxueux, les voies dallées, les
thermes publics, les entrepôts et les ateliers permettant peu à peu
de recomposer un paysage urbain dont l'organisation et le souci de
confort étonnent par leur modernité. Depuis le site a été acquis par
le département du Rhône et classé au titre des monuments historiques
en 1983.
En 1996, un musée est construit sur le site pour assurer la
présentation, l'étude et la conservation des collections trouvés
lors des fouilles dans un bâtiment moderne, perpendiculaire au
fleuve. Construit sur pilotis, le bâtiment d'exposition permanente
est une véritable structure aérienne qui épouse fidèlement le plan
d'un îlot de la villa romaine, explorée avant sa construction.
Transparent sur toutes ses façades, le bâtiment d'exposition
permanente offre une vue d'ensemble sur le quartier gallo-romain de
St Romain en Gal, le Rhône et la ville de Vienne sur l'autre rive.
Élément fort du paysage, le musée est placé dans le prolongement du
pont sur le Rhône qui assure symboliquement la continuité entre les
deux rives, référente évidente à l'unité urbaine de l'époque
romaine.
Arrivés sur place, divine surprise, le premier samedi du mois dans le Rhône, les Musées Départementaux sont gratuits. Nous profiterons de cette gratuité pour offrir sur l'argent économisé, l'apéritif plus tard à nos Amis, au restaurant.
Nous sommes accueillis par nos deux médiateurs Eve et Pascal qui s'empressent de nous séparer en deux sous-groupes pour une meilleure fluidité et une meilleur compréhension : le premier groupe commencera par le musée et le deuxième partira pour visiter la zones de fouilles.
Notre guide Eve et ses explications
Nous commençons par la découverte en plein air du site archéologique en permanente évolution sur plus de 7 hectares. N'oublions pas que ce quartier de Rome a été habité du Ier siècle après J.C. à la fin du IIIème siècle après J.C. En faisant une boucle dans la zone des fouilles, nous découvrons les vestiges d'un carrefour routier avec ses rues pavées avec trottoirs et grille d'évacuation des eaux de pluie. Nous poursuivons par la zone des bains thermaux avec un ensemble de latrines collectives ingénieusement hygiéniques, ensuite par la zone du marché, la villa des cinq mosaïques, le centre commercial avec ses entrepôts et enfin la maison des dieux océaniques dont les colonnades de l'atrium ont été redressées. Tout l'espace visitable n'est jamais figé car il s'agrandit au fur et à mesure de l'avancée des fouilles avec souvent des découvertes exceptionnelles.
Dans un deuxième temps, nous poursuivons par la visite du Musée romain qui nous offre un panorama complet de la vie quotidienne à l'époque gallo-romaine où plus de 1 160 objets sont exposés (collection de mosaïques, peintures murales, statuaires, objets en céramiques, en os, en métal).
Le point fort en est la contemplation des plus belles mosaïques exposées et sauvés découvertes sur le site de fouilles. Nous découvrons les mosaïques de Neptune, des dieux des océans, d'Orphée, de Lycurgus, des athlètes victorieux, etc.
Des lieux de vie des romains sont reconstitués : un marché romain avec à profusion des poteries, des échoppes, un bateau fluvial voguant sur le Rhône transportant des amphores et des tonneaux de vins. Mais c'est surtout la reconstitution d'un atrium et de son péristyle d'une villa d'un riche romain qui nous a particulièrement intéressé. C'est la cour intérieur autour de laquelle s'articule la maison romaine. Les différentes pièces s'ouvraient sur l'atrium. Un espace où les visiteurs attendaient d'être reçus par le Dominus (le maître). C'était souvent la pièces la plus belle par sa décoration (murs peints, mosaïques au sol, fontaine ou bassin pour agrémenter, colonnades pour soutenir les auvents) car ce lieu était très fréquentée par la famille et les visiteurs et les clients.
Nous découvrons également un peu plus sur
l'intimité romaine avec l'art de vivre dans la salle des banquets
avec l'art du placement des convives, faisant tomber le mythe des
orgies, véhiculé par les bandes dessinées, la chambre à coucher et
ainsi que des multiples objets de la vie de tous les jours. Pour
terminer, nous avons pris une leçon de la vie romaine tel que nous
la décrit trop brièvement notre cours d'histoire de 6ème.
Les amis de Montmélian ont d'autant plus apprécié cette double
visite car ils sont depuis longtemps sensibilisés à l'histoire
romaine à travail les fouilles du site du quartier de Mérande à
Arbin qui sont loin d'avoir délivré tous leurs secrets. Les
résultats sont partiellement exposés au Musée Historique de notre
Association qui mérite votre visite.
A midi, déjeuner au Grand Café de la Brasserie le Glacier sur le Boulevard du Cours Brilliet
Après un court intermède en car, nous
traverserons le Rhône pour venir à Vienne où le bus se gare auprès
de l'O.T. de Vienne/Condrieu.
Nous rejoignons à pied le restaurant à travers le chantier du
boulevard, quoique très animé malgré tout par de nombreuses tables
des terrasses des café-restaurants qui font le plein à cette heure
de la pause méridienne.
Dans le cadre des relations inter sociétés savantes, notre président
avait convié et invité à déjeuner à notre table Jean-François Bec,
Président des Amis de Vienne avec lequel nous entretenons de riches
relations et qui nous envoie régulièrement leurs publications,
Jean-Luc Presset au titre d'archéologue ayant mené les premières
fouilles sur Mérande/Arbin et son épouse Laurence Co-directrice du
musée de St Romain. Le lieu du rendez-vous était donc le restaurant,
les discussions n'en furent que plus intéressantes.
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Rencontre avec les Amis de Vienne
Dans une salle dédiée dite "du pigeonnier",
nous dégustons un menu typique de brasserie (œufs mayonnaise,
suprême de volailles sauce grand-mère et son accompagnement, baba au
rhum ou pour certains île flottante), le tout arrosé des vins locaux
des côtes du Rhône aux trois couleurs. Ce lieu a été pendant de
nombreuses années le siège du C.S. Vienne Rugby mais hélas il ne
reste que l'esprit des lieux et nous sommes un peu surpris qu'aucun
souvenir ne rappelle cette glorieuse histoire.
Nous avions donné également RDV à nos deux guides-conférencières
Magali et Caroline en ce même lieu pour nous retrouver au café et
c'est tout naturellement d'ici sur sa terrasse que nous allions
commencer la visite guidée de la ville.
L'après-midi : visite guidée de la ville de Vienne et du théâtre antique au fils du temps de l'époque antique à nos jours
A la sortie du restaurant, nous avons
retrouvé nos deux groupes du matin pour suivre un parcours semblable
dans la cité sans nous chevaucher par des itinéraires différents
pour bien profiter des explications de nos guides à la découverte
des principaux monuments de la Cité de Vienne, la Belle et la
Sainte.
A la première étape, nous avons un aperçu et une description de la
Place Pierre Sémard où trône en son centre le monument aux morts de
Vienne, représenté par une magistrale statue de Claude Grange
(grand prix de Rome de 1913) qui est une allégorie de la victoire
représenté par une femme accueillant depuis 1923 dans ses bras
ouverts les Viennois et les hôtes entrant dans la cité par le Sud.
Début de la visite de la ville
S'en suit un passage devant la gare
ferroviaire qui nous rappelle que la ville est station importante de
la grande ligne PLM de Paris à Marseille comme ses quais également
support de la célèbre RN 7 et ses célèbres embouteillages, la route
des vacances depuis le Front Populaire, la porte d'entrée vers le
Sud.
Nous remontons la rue Victor Hugo pour atteindre le théâtre antique
qui flanque la colline de Pipet. C'est l'éblouissement tant cet
ensemble est majestueux et bien conservé grâce à une restauration
soignée des années 1930. Construit entre 40 et 50 ans après J.C.,
financés par quelques généreux mécènes locaux, ses gradins sont
construit sur le flanc abrupte de la colline dont le sommet formait
à l' époque antique grâce à d'important travaux de soutènement une
esplanade cultuelle constituée de temples et de statues diverses
(dieux, empereurs, etc.), en quelque sorte une extension sacrée du
théâtre.

Vienne vue du Théâtre antique et de la
ville
Aujourd'hui le sommet de la colline nous
offre un magnifique belvédère sur la ville et le vallée rhodanienne.
Il accueille, une chapelle dédiée à Notre Dame de La Salette, lieu
d'un pèlerinage important. Pour revenir à l'ouvrage, la circulation
des spectateurs se déroulait sous les gradins au moyen de couloirs
soit ouvragés, soit creusés à même la roche. Les spectacles qui s'y
déroulaient étaient gratuit pour la population car réglés par de
riches commerçants. Quelques fois s'y déroulaient également des
cérémonies religieuses particulièrement liées au culte de l'empereur
comme le montre l'autel à offrandes en son centre de scène, bien
conservé et magnifiquement ouvragé. D'une capacité de plus de 13 000
places, ce qui en faisait l'un des plus grands de l'époque romaine,
il continue à être utilisé aujourd'hui car chaque année, début
juillet, se déroule le festival de "Jazz à Vienne" qui draine plus
de 30 000 spectateurs sur une semaine.
Cet ensemble a été complété au IIème siècle après JC à proximité par
un second théâtre, plus petit, l'Odéon qui lui n'a pas encore été
restauré.
Un invité prévu nous à rejoint pendant la visite du théâtre antique : c'est la pluie qui va rendre la visite guidée plus périlleuse. Nous poursuivons la visite par des rues très moyenâgeuses jusqu'à un ensemble, appelé le Jardin de Cybèle toujours en en cours de fouilles qui réunit plusieurs vestiges de l'époque gallo-romaine. Ces ruines témoignent du quartier du Forum, symbole de la puissance et de la grandeur du pouvoir romain et surtout lieu de la vie publique de la cité. On le devine par son accès par l'arcade d'un portique important, des restes d'un mur imposant sans doute celui de la salle de l'assemblée municipale et les restes d'une luxueuse maison citadine. Sur le coté Nord se trouve logé le bâtiment moderne du Théâtre municipal.
Nous poursuivons notre itinéraire par un arrêt devant l'Hôtel de Ville de Vienne à la façade toute républicaine. Il occupe l'ancien hôtel particulier du XVIème siècle du Marquis de Rachais, d'inspiration italienne avec sa grande loggia à arcades et de magnifiques escaliers rampe sur rampe de la cour intérieur. Racheté par la Ville en 1771, elle va procéder à des restaurations et aménagements dont celle de 1952 par la construction du beffroi avec l'horloge publique au-dessus. A visiter absolument.
Notre cheminement nous amène devant le temple d'Auguste et de Livie et ses jolies colonnades. C'est l'un des deux temples romains qui nous sont restés entier en Gaule avec la Maison Carrée de Nîmes. Sa façade à colonnades abritait un temple dédié au culte impérial honorant l'empereur Auguste et son épouse Livie. Il a défié les siècles par son réemploi comme église paroissiale de Vienne jusqu'à la Révolution Française qui l'utilisera comme Temple de la Raison. Classé Monument Historique depuis 1840 par Prosper Mérimée, il inspirera Thomas Jefferson, 3ème président des Etats-Unis pour les plans du Capitole de l'Etat de Virginie comme en témoigne ses carnets de voyage lors de son séjour à Vienne en 1787.
Le temple d'Auguste et de Livie
Enfin le dernier grand site visité est la cathédrale présentant trois vaisseaux, sans transept. Elle est dédiée à St Maurice, Saint que nous connaissons bien car le patron de la Savoie (confère voyage en juin 2015 à St Maurice d'Augaune, jubilé à l'occasion des 1 500 ans de la création de l'Abbaye par St Sigismond, Roi des Burgondes). Nous pouvons admirer quatre tapisseries flamandes du XVIème siècle, exposées au chœur rappelant des épisodes de sa vie. Vienne a longtemps été depuis dès le IVème siècle, le siège de l'archidiocèse de Vienne jusqu'en 1789. La cathédrale, longue de de 90 m, large de 33 m , haute de 33 m a été construite de 1120 et 1150 dans le style roman, il nous reste les travées 5 et 7, l'édification se poursuivra au XIIIème siècle en style gothique comme en témoigne le chœur. La construction se poursuivra au XVIème siècle par l'édification de la façade côté Rhône. Pour nos historiens, une belle leçon de styles architecturaux.
Le coeur de la cathédrale St Maurice
Devenue grenier à foin et caserne pendant la période troublée, elle est rendue au culte par le Concordat de 1802 mais elle va perdre par destruction deux cloîtres attenants, trois chapelles latérales et le palais épiscopal pour une vaste opération de restructuration du tissu urbain aux alentours. Nous retenons de la visite, le souvenir de Gui de Bourgogne, archevêque de Vienne, élu pape sous le nom de Calixte II (1119-1124), il confirmera la primatie des archevêques de Vienne sur les archevêques d'Auch, Bordeaux, Bourges, Embrun, Narbonne, Tarentaise en lui octroyant le titre de primats des primats. Le Concile de Vienne, tenu en 1312, sous la présidence du pape Clément V, décida la suppression de l'ordre des Templiers voulue par le Roi de France Philippe le Bel. Le saccage de la cathédrale par les troupes protestantes du baron des Adrets en 1562 lors des guerres de religions. Enfin c'est la suppression de l'archevêché de Vienne en 1790, réduisant la cathédrale à une simple église paroissiale. Elle reste toutefois depuis l'une des deux cathédrales du diocèse de Grenoble-Vienne. Elle fait l'objet depuis 2006 d'importants travaux de restauration.
Nous sortons de la cathédrale pour admirer la beauté de sa façade, son ensemble statuaire et la magnifique place donnant sur les quais du Rhône tout proche. Nous rencontrons le deuxième groupe aussi sous nos pas mais surtout pour prendre la pluie encore plus forte. La suite du programme prévue va se trouver plus que compromise. Nous décidons d’abréger la suite de la visite guidée par un appel du conducteur du car pour venir nous chercher en urgence et nous éviter une froide douche et peut-être prendre froid.
Le parvis de la Cathédrale St Maurice vue
des quais
Nous avions programmé une dernière étape dans
les jardins de l'Office du Tourisme de Vienne, la dégustation des
cépages locaux. En effet, nous ne pouvions pas quitter ces lieux
sans goûter l'autre richesse de la ville que connaissaient déjà les
Romains les célèbres vins des Côtes du Rhône du Terroir AOC des
Côtes Rôties avec les deux cépages emblématiques en Vins Rouges
le cépage Syrah et en blanc, le cépage Viognier, le tout avec
modération. L'achat des ces vins avait été fait en amont mais la
pluie a tout gâché sans nous permettre de le faire. Les bouteilles
vous attendront au musée historique pour trinquer avec nos fidèles
animateurs Marcelle et Guy, lors de leur permanence du mercredi
après-midi.
En fin de journée, nous prenons le chemin du retour hélas toujours
accompagné de la pluie, en suivant le même itinéraire qu'à l'aller.
Merci à Franck d'avoir fait le taxi avec son car dans les rues
Chambéry pour accompagner nos Amis résidant en ville en leur évitant
un retour périlleux et pénible.
Nous rejoignons tardivement en fin de journée notre cher Montmélian
avec le souvenir d'une journée si bien remplie, pleine de souvenirs.
Nous concluons nos propos par "ils sont fous ces Romains" comme
diraient Astérix et Obélix.
Nous travaillons déjà sur le projet de voyage 2026 qui sera l'année
des 50 ans de notre association : nos noces d'or avec la cité... !?
Claude DETRAZ
L'association des "Amis de Montmélian et de ses Environs" a pour but de regrouper les personnes intéressées par la Commune de Montmélian et de ses environs en ce qui concerne le terroir, les habitants et les habitations, le paysage, les sites naturels et archéologiques et monuments et en général l'histoire et tous les problèmes d'environnement dans le présent et dans l'avenir.
Elle se propose de contribuer à conserver, mettre en valeur et développer tout ce qui est susceptible d'accroître à Montmélian la qualité de la vie sous toutes ses formes, d'aider au culturel et en général de permettre au pays de tenir son rang conformément à sa situation et à sa disposition, à l'exclusion de toutes discussions politique ou religieuse.
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